LETTRE OUVERTE A MONSIEUR EMMANUEL MACRON 
PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE 
 
 
En France, le 05 février 2019, 
 
 
DE L’ERADICATION DES PRATIQUES CRIMINELLES ET DELICTUELLES 
LIEES A LA CRIMINALITE FINANCIERE
 
 
 
 
Monsieur le Président de la République, 
 
 
I) Les motivations de cette lettre 
 
 
a)L’objet de cette lettre est de vous informer des nombreux « dysfonctionnements », harcèlements et barbouzeries que je subis sans discontinuité depuis plus de vingt (20) ans dans tous les domaines (sphères privées et professionnelles) – manifestement en toute impunité, jusqu’à ce jour. 

J’ajoute que je suis légitime pour m’exprimer sur ce sujet, en tant que témoin direct, et victime non consentante de ce système. 

La suite des propos est très édulcorée par rapport à la réalité des faits. 

b) les auteurs : des individus rassemblés en officines et leurs complices, qui agissent exclusivement dans l’occulte. 

c) l’unique motivation de ces individus et de leurs voies de fait : l’argent sous toutes ses formes et par tous moyens, à savoir : 

- détournement de patrimoines et d’argent (public et/ou privé), 

- le tout accompagné de blanchiment d’argent, afin d’éluder l’impôt. (Art. 324-1 du Code Pénal). 

d) leur méthode : 
- utiliser, sous la contrainte et la terreur, les compétences de « spécialistes » chevronnés - notamment fiscalistes- via des techniques sectaires ; notamment par la rupture brutale et inexplicable avec l’environnement familial ; 
- moyennant des procédés relevant de l’abus de faiblesse (Art.L.223-15-2 du Code Pénal). 
- aboutissant ainsi à une disparition de l’individu et à sa rupture avec toute vie sociale normale. 

Les historiens de l’Antiquité grecque dénonçaient ainsi cette méthode : « ….dans les formes les plus graves….on recourait alors à ce qui était considéré comme la sanction absolue : l’ostracisme…….(cette méthode) avait pour conséquence le dépérissement rapide du sujet exclu de la communauté humaine »(Yves PRIGENT – La cruauté ordinaire- p .58- Ed. Desclée de Brouwer - 2004) 

Ce qui prouve que les officines visées n’ont rien inventé, en termes de destruction psychologique. 

Au surplus, la situation se corse, quand dans leur grande paranoïa, ces officines estiment avoir le droit d’avoir la main sur la vie de certains fonctionnaires d’Etat au nom d’un pouvoir qu’elles se sont conférées en toute illégalité. 
Cette situation est d’autant plus surréaliste, que tout cela est très éloigné du Statut de la Fonction Publique………. !!!!!!!! 
Quand on s’attaque à un fonctionnaire français, c’est l’Etat français que l’on attaque !!!!!! 

e) les graves conséquences de ce « système » totalement illégal, tant au plan de l’individu qu’au plan de la société française :  

- au plan humain, ces officines détruisent des individus- psychologiquement et physiquement – élément caractéristique des méthodes sectaires ; d’où l’intérêt pour ces dernières de recourir au service de barbouzes.  
- au plan étatique et économique, elles ont amplement contribué au développement exponentiel des déficits budgétaires de la France au cours de ces quarante (40) dernières années. 
 
II) La problématique française  
 
 
a) La problématique : 
 
D’une part, la nécessité de résorber les déficits publics conduit à augmenter les rentrées fiscales, en sur taxant la classe moyenne. 
La principale conséquence est la réduction du pouvoir d’achat des français; d’où le malaise actuel de la société française. 
Comment remédier à cette situation ? 
 
b) D’autre part, les instances européennes et internationales ont apporté une solution à cette problématique, via un ensemble de directives visant à lutter contre le blanchiment d’argent – à l’origine de ces déficits publics. 
 
Or, l’une de ces directives, directement transposable en droit interne français, impose, depuis le 1°Avril 2018, la déclaration des bénéficiaires effectifs des sociétés auprès des greffes des tribunaux de commerce pour toute société commerciale ou civile (moyennant sanction pénale). 

(Selon Art. L 561-2 al.12 du Code Monétaire et Financier et Art. L 561-46 et R 561-55 du Code Monétaire et Financier) 

Cependant, que faire lorsque le bénéficiaire effectif a « disparu »– contraint et forcé par les officines visées ci-dessus- ; comment le dirigeant de la société concernée peut-il alors remplir ses obligations légales en la matière? C’est une problématique purement française. 
 
III) Les solutions 
 
 
Elles existent et sont de deux types : 

1) Faire réapparaître les « disparus » ; c’est le moins que l’on puisse attendre d’un Etat qui se présente régulièrement et mondialement comme le chantre des Droits de l’Homme. 
Cela, non seulement, entre dans les prérogatives de l’Etat français, mais fait partie des obligations de l’Etat. 
A défaut, la responsabilité de l’Etat français est engagée, d’autant plus lorsque la personne concernée est un fonctionnaire de l’Etat français, ciblé et piégé dans l’exercice de ses fonctions, par des procédés malhonnêtes et délictuels. 
Faire réapparaître l’individu « disparu » permettrait d’assurer la mise en œuvre des déclarations des bénéficiaires effectifs, conformément à l’esprit de la loi, dans des conditions normales, telles que celles prévues par la loi anti-blanchiment et le Code Monétaire et Financier. 
 
2) Au surplus, pour renflouer les caisses de l’Etat, il suffirait simplement de récupérer l’argent qui a franchi les frontières françaises en toute illégalité, et donc en franchise fiscale, afin de résorber les déficits publics. 
 
En fait, ce n’est ni plus, ni moins que l’objectif recherché par les directives internationales. 
 
Compte-tenu de l’ensemble des dispositions existant en droit interne français, en matière d’anti-blanchiment, il n’est pas compliqué d’ appliquer ces dernières en mettant à jour les réseaux de grande envergure. 

Ce n’est qu’une question de volonté politique, puisque j’ai pu, moi-même, simple citoyenne lambda, parfaitement identifier tous ces réseaux. 
(Le texte de base en la matière, étant l’article 324-1 du Code Pénal). 
 
D’autant que la mise en œuvre des dispositions susvisées entre dans les prérogatives régaliennes de l’Etat français, ainsi que dans les engagements internationaux souscrits par la France, en application de traités dans lesquels la France est partie. 
 
3) Enfin, n’oublions pas que, sous la Présidence de M. Nicolas SARKOZY, des dispositions législatives ont été prises qui prévoient la confiscation des patrimoines mafieux par l’Etat français : il suffit de les appliquer. 
 
IV) Les auteurs de ces dysfonctionnements et harcèlements. 
 
 
a) Au plan structurel, si tant est que l’on puisse parler de « structure »…… 
Les auteurs de tous ces dysfonctionnements sont les membres de certaines officines (et leurs complices), qui infiltrent tous les lieux de pouvoir. 

b) Cette pseudo-élite auto-proclamée se positionne au-dessus des lois, alors qu’elle ne bénéficie d’aucune légitimité. 
Seul le suffrage universel pourrait lui conférer cette légitimité ; or, les officines recrutent par cooptation, dans l’occulte, au surplus en dehors de tout système républicain officiel.  
Elles n’ont donc aucune légitimité pour exercer quelque pouvoir que ce soit, sur quelque citoyen que ce soit, sauf à se livrer à un étrange détournement de pouvoirs, via des montages et mises en scène fallacieuses qui ne tiennent juridiquement pas la route. 
 
c) Au surplus, toutes ces officines ont des relents sectaires. 
 
d) Cette pseudo-élite se rencontre dans différentes couches de la société (fonctionnaires, professions réglementées, élus politiques, un « certain »monde véreux de l’entreprise et des services qui utilise des activités légales pour mieux masquer ses activités et pratiques sulfureuses, etc…) (liste non exhaustive). 
 
Si leurs méthodes impactent toute la France, le système est particulièrement virulent en région Centre. 
 
e) Par ailleurs, ces officines agissent en toute illégalité. 
Les méthodes utilisées par ces individus relèvent du Code Pénal, et le champ d’application est large puisque l’on peut balayer tout le Code Pénal et y trouver application. 

Leurs méthodes relèvent du GRAND BANDITISME et de la CRIMINALITE. 

A la façon d’un inventaire à la Prévert, voici un listing non exhaustif des agressions et harcèlements dont je suis victime depuis plus de 20 ans, tant à titre privé que professionnel : 

- Ecoutes téléphoniques sauvages, intrusions dans les locaux et violation de mes locaux professionnels et privés, voies de fait sur véhicule, filatures, tentatives d’internement au surplus par la voie judiciaire, procédures judiciaires truffées de faux en écritures, violation de la boîte aux lettres, déclenchements intempestifs du système d’alarme, tentatives de radiation professionnelle, appels téléphoniques nocturnes anonymes…. 
 
- Ne dit-on pas que les mêmes méthodes et exactions ont été appliquées à des entreprises (liste succincte et non exhaustive) : 
 
o Voies de fait et sabotage au sein d’entreprises (l’objectif étant de détruire ou détourner l’actif de ces entreprises) : 
o Incendie criminel et menaces d’incendie, 
o Sabotage de l’outil de travail,  
o Détournements de marchandises et vols de marchandises via des réseaux organisés, 
o Procédures judiciaires instrumentalisées et dépôts de bilan instrumentalisés  

Toutes ces voies de fait constituent une attaque ciblée du tissu économique. 

f) Il ne faut pas oublier que les exactions de ces individus contribuent à leur faire prendre du galon, dans leur petit microcosme nuisible. 
 
g) Au plan psychologique, les auteurs de ces exactions ont des personnalités perverses, caractérisées par « leur vide interne, leur destructivité externe, leur absence de scrupules, de culpabilité ou d’angoisse »…. « C’est sur la qualité humaine que le pervers exerce son dévolu et sa destructivité envieuse » ( Yves PRIGENT – La cruauté ordinaire – Desclée de Brouwer – 2004 – page 41). 
 
h) Les individus relevant de ces officines sont des destructeurs et des créateurs de chaos, notamment au sein de l’économie française. 
Par opposition aux créateurs d’entreprises, qui contribuent au développement économique et sont pourvoyeurs d’emplois. 
 
i) Au surplus, quitte à enfoncer une porte ouverte, n’oublions pas que la corruption, que ces individus pratiquent couramment, est génératrice de pauvreté. 
 
V) La problématique judiciaire française : l’indépendance de la justice ? 
 
 
Après vingt ans de procédures judiciaires « subies » et totalement artificielles – reposant notamment sur des faux en écritures, ainsi que sur des dysfonctionnements judiciaires multiples, je me sens totalement légitime à poser certaines questions basiques :  

- A quand une réelle réforme de la justice, qui garantisse réellement l’indépendance de la justice ?  
- A quand la fin des usurpations d’identité dans le cadre des procédures judiciaires ? 
 
- A quand une accélération des délais de procédure, sachant que des délais à rallonge « instrumentalisés » coûtent trop cher aux justiciables, ainsi qu’à l’Etat français, et donc aux contribuables en fin de course ? 
 
- A quand la fin des faux en écritures ? 

N’est-il pas inadmissible de devoir attendre durant 10 ans le dénouement d’une procédure judiciaire artificielle, pour recouvrir une créance incontestable ? 

Etant précisé que l’argumentaire développé durant la procédure judiciaire par la partie adverse a été souvent éloigné de considérations purement juridiques, et a été souvent proche du dénigrement et de la calomnie ; cette méthode relève du harcèlement et d’une intention de nuire caractérisée.
 
Tous ces dysfonctionnements ne sont pas conformes à la jurisprudence européenne. 

Je ne fais que survoler le sujet judiciaire, car c’est un sujet beaucoup trop grave pour le traiter à la légère. 

J’ai bien l’intention d’y revenir longuement par ailleurs. 
 
 
CONCLUSION : 
 
Toutes mes affirmations ne sont pas gratuites. 
 
Elles sont étayées par un nombre impressionnant de dossiers probants. 
 
Chacun des points évoqués ci-dessus donnera lieu à des développements complémentaires ultérieurs. 
 
 
 
Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, en l’expression de ma respectueuse considération. 
 
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