LETTRE OUVERTE A MONSIEUR EMMANUEL MACRON 
PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE 
 
DEUXIEME COMPLEMENT A LA LETTRE INITIALE DU 5 FEVRIER 2019 

 
En France, le 20 Février 2020, 
 
 
DES HARCELEMENTS LIES A LA CRIMINALITE FINANCIERE

 
 
 
 
Monsieur le Président de la République, 
 
 
J’apporte, par la présente, et pour la deuxième fois, des compléments à mon courrier initial du 5 Février 2019. 

Les assertions contenues dans le précédent courrier du 11 Novembre 2019 se sont rapidement confirmées ; les réactions ne se sont pas fait attendre : 

- Dégradation des biens ; 
- Appels anonymes ; 
- Ecoutes téléphoniques ; 
- Déclenchements d’alarmes intempestifs… 
- Agressions professionnelles intensifiées…..etc. 

De fait, mes adversaires ne souhaitent pas renoncer à l’omerta qui entretient l’opacité sur leurs exactions… 

L’actuelle période électorale intensifie manifestement les comportements dénoncés….. 

Avec toujours les mêmes auteurs : 

- Certains élus ; 
- Toujours les officines ; 
- Certains membres de professions réglementées ; 
- Certains fonctionnaires ; 
- Toute une clique de complices, et une petite « cour » de fidèles que les auteurs de ces dysfonctionnements se sont attachés, moyennant des procédés discutables…. 
 
En réponse à mes adversaires, faut-il leur rappeler l’article 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : 

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne »

Comprenne qui voudra….. 

Faut-il leur rappeler également l’article 4 de la même Déclaration : 

« Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes. » 

Comprenne encore qui voudra…. 

Faut-il leur rappeler en sus que dans un Etat de droit, l’ensemble des comportements délinquants, visés dans cette affaire, et dans mes précédentes lettres, relèvent du Code Pénal, et sont donc de totale actualité. 

L’argent facile a ses limites….notamment juridiques. 

Vous remerciant de prendre en considération ces différents dysfonctionnements répétés, et ces harcèlements, signatures des blanchisseurs, 

Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, en l’expression de ma respectueuse considération.
 

 
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