LETTRE OUVERTE A MONSIEUR EMMANUEL MACRON 
PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE 
 
TROISIEME COMPLEMENT A LA LETTRE INITIALE DU 5 FEVRIER 2019 

 
En France, le 24 Novembre 2020, 
 
 
Objet : Des précisions :  
 
- A) Agression et disparition d’un fonctionnaire de l’Etat français dans l’exercice de l’Etat de ses fonctions - « Nuit et brouillard » - 
- B) Des précisions sur les auteurs de ces agressions pénales 
- C) Des méthodes totalitaires : 
o a) Infiltration des familles 
o b) Infiltrations au cœur de l’Etat français 
- D) Le cœur du problème : le blanchiment d’argent 
- E) Le contexte présent : le GAFI et la France. 
- F) L’une des conséquences : les délinquants et le COVID 
Monsieur le Président, 
 
A) AGRESSION ET DISPARITION D’UN FONCTIONNAIRE DE L’ETAT FRANÇAIS 
 
Je vous rappelle qu’un Professeur français agrégé des Universités « disparu depuis de nombreuses années » a été drogué à son insu, lors de sa participation à un jury de concours de l’Education Nationale - c’est-à-dire dans le cadre de ses fonctions. 

Précision : son Administration d’origine est l’Administration des Finances.
 
En conséquence, il y a eu de la part de ses agresseurs, PREMEDITATION : ce qui signifie élément intentionnel au plan PENAL. 

Que dit le Statut de la Fonction Publique ? Dans un tel cas de figure, est-il adapté ? 

Que dit le Code Pénal : Article 223 – 1 : Mise en danger de la vie d’autrui. 

La mention « disparu depuis de nombreuses année» signifie expressément qu’il s’agit d’une infraction continue, ce qui n’est pas sans incidence – sur le plan pénal - au niveau de la prescription, à savoir que ce crime n’est pas prescrit. 

Cette précision est destinée expressément à l’intention de certaines officines, spécialistes de l’abus de prescription ; si elles se reconnaissent, ce sont bien elles que je vise. 

L’objectif des auteurs de ces infractions: 

- Anéantir ce Professeur par des méthodes minables de faux-culs et incultes, de façon à le conduire artificiellement à «l’ Etat de faiblesse », notamment par le biais de l’alimentation – Abus de faiblesse réprimé par l’article 223-15-2 du Code Pénal. 

- l’asservir à de basses besognes fiscales, dans leurs propres intérêts, particuliers, financiers et totalement hors la loi.- Travail dissimulé et/ou esclavagisme !!!!! 

 Où est l’intérêt de la République ? 
 
En parallèle- quelle étrange coïncidence !!! - une expert-comptable régulièrement agressée, sans répit, par les mêmes pauvres minables et prétentieux, incapables d’assumer leurs propres actes. 

Que signifie une procédure viciée, longue de 10 ans, destinée à sanctionner une prétendue faute professionnelle- inexistante- puisqu’elle n’a jamais été sanctionnée par les tribunaux- et pour cause !!!! 

Harcèlement, abus de droit, abus de procédure, intention de nuire : l’élément intentionnel est réalisé. 

Les objectifs : détournement d’argent et occultation d’une affaire criminelle. 
 
B) PRECISIONS SUR LES AUTEURS DE CES AGRESSIONS 
 
Une black –list de ces sinistres individus existe bel et bien, je peux l’assurer, puisque je l’ai moi-même établie ; elle est régulièrement mise à jour. 

Qu’il s’agisse des commanditaires ou des exécutants 

Ainsi, pour en revenir à ce fameux jury de concours, il a révélé que l’Education Nationale est fortement infiltrée et impliquée à différents niveaux, localement , ainsi qu’à un niveau plus centralisé. 

Les méthodes utilisées relèvent davantage de méthodes « barbouzes », que de celles que l’on est en droit d’attendre de cette institution. 

Pour identifier les responsables de tels dévoiements, il suffit d’ enquêter sur les participants à ce jury de concours, ainsi que – et surtout -sur ceux-là même qui ont « œuvré » à sa composition. C’est une question de VOLONTE. 

Pour moi-même, qui détient les noms de ces responsables, le voile peut-être facilement levé. 

L’attachement de certains de ces individus à certains territoires de la République – sis hors métropole – ne laisse pas planer de doute sur leurs réels objectifs- très éloignés des intérêts de la République 

Une question : comment l’Etat français a –t-il- pu sombrer dans de tels abimes, concernant l’un de ses propres fonctionnaires ? 

Il est certain qu’on constate une désagrégation d’une partie de la société française, qui se manifeste : 

- Par une généralisation de la pratique de l’association de malfaiteurs en bande organisée. 
- Par la trop grande proximité de certains élus avec un certain monde hors la loi. 
- De même, pour certaines officines, plus proches de la criminalité que de l’Etat de Droit. 

On peut ainsi égrener un certain nombre d’articles du Code Pénal français, qui trouvent largement application dans le cas d’espèce. 

Ainsi, faut-il rappeler que : 

• La séquestration est réprimée pénalement : aucun motif d’exonération (art . 224-1 du Code Pénal Français) 
• Idem pour l’administration de substances nuisibles (art.222 – 15 du Code Pénal Français) 
• Idem pour l’abus de faiblesse(art . 223-15-2 du Code Pénal Français) 

 Faut-il rappeler que la sanction d’une séquestration, c’est une réclusion criminelle de 20 ans – selon le Code Pénal dans son article 224-1- qui n’est que l’émanation de la volonté du législateur. 

Il semble utile de rappeler que cette sanction vaut tant pour les auteurs que leurs complices

Qui sont ces malfaiteurs en bande organisée ? 

On y retrouve tout un agrégat d’individus à la moralité plus que douteuse, émanant de différents milieux : 

Pour brouiller les pistes, ils ont l’art d’arborer plusieurs casquettes, et surtout d’infiltrer les lieux de contrôle, de cumuler différents mandats, se comportant ainsi en parfaits Janus : 

  •  Certains élus politiques, 
  • Certains membres de professions réglementées, 
  • Professions du chiffre, du droit et de la santé 
  • Un certain monde de l’entreprise, 
  • Certains fonctionnaires. 
Sommes-nous encore dans un Etat démocratique, ou sous la férule d’une organisation maffieuse, prête à toutes les exactions. 

Une évidence : nous sommes très très loin d’un Etat de Droit, et du Droit 

 
Des exemples bien concrets : 

Sont visées particulièrement deux villes ligériennes de la Région Centre, dites autrefois villes royales, qui désormais ont sombré dans la criminalité.
 
D’autant que ces délinquants violent systématiquement les règles d’indépendance, applicables à toute profession réglementée, ainsi qu’à tout vie politique de la cité, en échangeant leurs mandats avec des acolytes de la même espèce d’un département limitrophe. 

Quelle interprétation de la notion d’indépendance !!!!!! On appelle cela « faire de l’habillage ». 

C’est se moquer du peuple !!! 
 
C) DES METHODES TOTALITAIRES 
 
a) Infiltration des familles : 

A l’instar de certains régimes totalitaires de la planète, actuels et passés, ces délinquants finalisent leurs crimes en infiltrant les familles – question de maintenir l’omerta – et de mieux détourner des patrimoines privés. 

Cette méthode d’infiltration est le seul moyen que les délinquants ont retenu, pour contredire leurs « opposants », maintenir l’omerta et créer le chaos. 

Car ces individus sont des créateurs de chaos de la société française. 

Dans ce domaine, je détiens également une liste à jour. 
 
b) Infiltration au cœur de l’Etat français 

En dehors de l’infiltration visée en A), on retrouve cette infiltration dans différents lieux de pouvoir. 

Implication d’un Parti Politique au passé sulfureux 

Certains s’imaginent que leur accointance avec un certain parti politique leur autorise toute forfaiture ; pure illusion, s’agissant d’un parti politique, au passé sulfureux, et au surplus agonisant. 

Quant à la collusion des individus visés ci- dessus, ainsi que de certains encartés de ce parti avec le grand banditisme, c’est un secret de polichinelle, qu’ils n’arrivent même pas à occulter dans le cadre de leur gestion de la vie publique locale. 

Les délinquants et les finances publiques locales : 

 Ces sinistres individus préemptent par tous moyens la gestion des finances publiques locales ; d’où l’intérêt de séquestrer un professeur de Finances Publiques.
 
Contre-audit des finances publiques locales :
 
Un contre-audit des finances publiques locales s’impose impérativement pour mettre un terme aux malversations de ces sinistres individus. 
 
D ) LE CŒUR DU PROBLEME : LE BLANCHIMENT D’ARGENT 
 
Les délinquants et le blanchiment d’argent : 

La résultante de tous ces malversations, de ce manque total de civisme de la part d’élus eux-mêmes, de leurs agressions dont je peux personnellement témoigner, c’est le BLANCHIMENT D’ARGENT. 

Le blanchiment d’argent a pour but de redonner une virginité aux biens (ou argent) mal acquis par le biais de malversations. 
 
E) LE CONTEXTE PRESENT : LE GAFI ET LA FRANCE 
 
Les délinquants, la France et le GAFI :
 
L’actuel contrôle du GAFI par la France, doit assurer un état des lieux de la France sur sa perméabilité ou non, avec le blanchiment d’argent- sur les hauts lieux du blanchiment – ainsi que la potentialité ou non de mettre à nu les Janus en tous genres. 

Ce qui semble parfaitement logique : il ne suffit pas par exemple de coiffer les doubles casquettes d’élu politique – même local- et d’une profession réglementée pour occulter ses propres exactions et échapper ainsi à la législation pénale- fût-elle nationale ou internationale. 

Les déficits successifs des finances publiques françaises et les décès du COVID 

Comment expliquer le fossé existant entre la France et d’autres démocraties européennes en termes de structures sanitaires. 

Ceci est d’autant plus choquant que la France est réputée pour pratiquer les taux de prélèvements sociaux les plus élevés du Monde

Alors, quels sont les vases communicants ? 

Les règles du droit budgétaire sont-elles doctement respectées ? Toutes les règles ? 

La réponse est dans l’attente. 

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes respectueuses salutations. 
 
Pour DISFO.NET